02 décembre 2014

  L’AUTRE GAUCHE DU PAYS DE BREST - BREST NOUVELLE CITOYENNETÉ

« Élections départementales 2015 : Urgence à rassembler pour un Finistère solidaire ! »

Face à la situation économique actuelle et sans attendre les échéances de 2017 pour faire bouger les lignes, il est urgent de réagir !

Le constat est clair : le Gouvernement actuel ne rassemble plus la gauche. La politique d’austérité qui est menée depuis des mois nous conduit droit dans le mur. Le pays est étouffé par les coupes budgétaires et les baisses des dotations pour les collectivités. Les promesses écologiques sont balayées. Les investissements sont en panne.  L’écrasement des salaires appauvrit toujours plus les ménages et les conditions de travail se dégradent pendant que le chômage explose. Nos concitoyens sont plongés dans une grave crise de confiance vis-à-vis de ceux qui les gouvernent. Les électeurs de gauche qui ont amené François Hollande au pouvoir ne l’ont pas fait pour subir la politique qui est mise en œuvre depuis 2012. Ils vivent cette situation comme une véritable trahison, qui en plus de mettre en danger la gauche, ouvre  la voie à l’UMP ultra libérale et fait le terreau de l’extrême droite.

Il est impératif de proposer une véritable alternative à gauche. Il est indispensable de travailler au rassemblement large des partis et des mouvements citoyens opposés à la politique d’austérité du gouvernement Valls. Traçons ensemble de nouvelles perspectives tendant à plus d’équité et de justice sociale, élaborons d’autres modèles de développement prenant en compte les enjeux environnementaux dans leur globalité.

Dans le Finistère, nous craignons plus que jamais que le Conseil Général ne passe aux mains de la droite en 2015. Mesurons-nous l’impact de politiques libérales sur les conditions de vie sociales, économiques et environnementales des Finistériens ? Quelles seront les conséquences sur l’engagement citoyen, associatif et culturel, si riche en pointe bretonne et qui fait toute l’identité de notre territoire ? Faut-il rappeler les missions du département en matière d’action sociale, d’éducation, de transports interurbains, d’aménagement du territoire, de culture, de jeunesse, de sport ?

Pour défendre une vraie politique centrée sur l’humain à Brest, à BMO et sur le département, réunissons celles et ceux qui partagent ce constat et qui se retrouvent dans cette démarche. En réussissant à sortir des logiques partisanes égocentrées, en mettant en avant les convergences et les valeurs que nous partageons, évitons la responsabilité de laisser la gestion de notre territoire à la droite. Cette collaboration offrirait aux Finistériens la possibilité de faire siéger au sein de la nouvelle assemblée départementale, des femmes et des hommes qui auront à cœur de porter haut les couleurs du progrès social et écologique.

Nous vous invitons à échanger sur cette perspective lors d’une réunion publique le :

Lundi 15 décembre à 20H au Foyer Laïque de Saint-Marc

Ensemble, avec nos différences et nos atouts, faisons émerger une alternative pour mener de vraies politiques de gauche sur nos territoires.

Les élus et les militants de l’Autre Gauche du Pays de Brest

12 novembre 2014

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19 juin 2014

Un communiqué sur la grève des cheminots a été adressé à la presse mercredi 18 juin 2014, vous le retrouverez ci -dessous, seul OF en date du 19 juin a signalé notre soutien à ce mouvement :

« Le Groupe des élus et les militants de L’Autre Gauche Brest Nouvelle Citoyenneté apportent leur soutien à la mobilisation des cheminots réclamant une meilleure réforme ferroviaire. La réunification de façade annoncée, ne résout pas la question de l’endettement et ne garantit en rien le volet social pour l’ensemble des salariés.

Ces derniers devront faire face à des statuts différents selon qu’ils appartiendront à la « SNCF réseau » ou bien à la « SNCF mobilité ». Des risques importants demeurent d’assister dans un avenir proche à une baisse de moyens et d’effectifs au plan national comme au plan local, dégradant un peu plus la mission de service public de la SNCF.

Pour mettre fin à cette situation, le gouvernement doit écouter et mieux prendre en compte les revendications des syndicats et des salariés ».